Comme l’arrêt Pachot nous l’a enseigné,
Le logiciel doit avoir de l’originalité,
Pour être juridiquement protégé.
À la négliger, on risque l’irrecevabilité
Ou, bien sûr, que l’action soit infondée.
Reste, pour espérer se rattraper,
La concurrence déloyale, action désespérée,
Souvent, hélas, de succès couronnée.
Arrêt Pachot : Cour de cassation, assemblée plénière, 7 mars 1986.
Rappel récent : Cour de cassation, 1ère chambre civile, 14 novembre 2013.
La date de publication de cet article est : 26/11/2013 . Des évolutions de la loi ou de la jurisprudence pouvant intervenir régulièrement, n’hésitez pas à nous contacter pour plus d’information.